
Contacts defunts : Comment établir un lien physique avec un défunt grâce à la méthode MIP
Contacts defuns : Et si vous pouviez avoir un contact physique avec un être cher ?

Et si, le temps d’un instant suspendu, l’invisible devenait tangible ? Si la chaleur d'une main disparue retrouvait la vôtre, si une étreinte longtemps espérée venait consoler ce qui semblait à jamais perdu ? Dans notre quête de sens, de réconfort et de liens au-delà du visible, l’idée de contacts physiques avec un être cher passé de l’autre côté peut éveiller en nous une douce émotion, mêlée de mystère et d’espérance.
Mon chemin de magnétiseur : là où les contacts commencent
Lorsque j’ai commencé à exercer le magnétisme, j’ai vite compris que chaque consultation n’était pas seulement un soin, mais une leçon. Plus j’évoluais, plus les cas que je recevais semblaient complexes, comme si la vie elle-même m’invitait à franchir des paliers, à grandir dans ma perception de l’invisible.
Au fil des séances, j’ai commencé à percevoir non seulement des émotions individuelles ou des charges liées à l’histoire personnelle de la personne, mais aussi des formes plus vastes, comme des chaînes émotionnelles, des mémoires en réseau ou encore des égrégores denses présents autour du corps subtil. Et puis un jour, j’ai ressenti quelque chose d’autre. Une présence.
Ces présences n’étaient pas simplement des traces énergétiques ou des mémoires. Parfois, elles réagissaient. Elles se manifestaient. Elles influençaient l’état physique ou émotionnel du consultant. J’ai fini par reconnaître qu’il s’agissait, dans certains cas, de défunts. Et bien souvent, malgré des tentatives antérieures de libération chez d’autres thérapeutes ou médiums, la sensation persistait. Quelque chose restait là. Une présence.
En touchant certaines zones du corps subtil, des symptômes apparaissaient soudainement. Un vertige. Un poids. Une douleur inattendue. Et je me suis mis à chercher. À me poser des questions. À vouloir comprendre. Je n’ai jamais voulu me contenter d’une réponse rapide ou d’un soulagement temporaire. Ce que je vis au quotidien n’est pas une succession de consultations, mais un chemin d’exploration permanent.
Je ne passe pas ma vie à simplement recevoir. Je passe ma vie à écouter, à observer, à chercher et à approfondir, pour que ma méthode soit vivante, juste et évolutive. Pour que ceux qui viennent me voir soient accompagnés avec le plus de vérité possible. Car chaque présence que je rencontre est un message. Et chaque âme qui se manifeste a quelque chose à dire.

Au fil de mes découvertes et de mon évolution intérieure, j’ai pu ressentir la présence d’êtres extraordinaires qui m’accompagnent. Depuis plusieurs années maintenant, ils me montrent le chemin avec une douceur que je n’aurais jamais imaginée. Là où j’étais perdu, là où la foi n’avait jamais trouvé de place en moi, sans doute parce que mon éducation n’en laissait aucune, j’ai appris à comprendre que nous ne sommes pas seuls. J’ai compris que nous sommes guidés, aimés, et que notre vie, loin d’être un hasard, suit un chemin profond, un tracé d’âme.
À mesure que je me suis reconnecté à moi-même, intérieurement, énergétiquement, spirituellement, j’ai commencé à percevoir la logique sacrée qui se cache derrière notre incarnation. Les choses deviennent plus légères, plus claires, comme une évidence silencieuse. C’est dans cet espace de compréhension que j’ai rejoint une vérité qui résonne encore aujourd’hui dans toutes mes cellules : tout est fréquence, comme le disait Albert Einstein. Et notre âme aussi est une fréquence, une vibration unique.
Lorsque le corps physique s’éteint, l’âme ne disparaît pas. Elle se libère. Elle quitte simplement un plan pour en rejoindre un autre. Peut-on vraiment parler de mort, ou devrions-nous plutôt parler de transition, de passage d’un état à un autre ? L’âme, une fois libérée, a le choix. Elle peut monter, cheminer, poursuivre son évolution, mais parfois, elle choisit de rester. Elle reste parce qu’il y a encore quelque chose à accomplir, à réparer, à comprendre. Et parfois, elle reste parce que les vivants ne la laissent pas partir.
Nos larmes, nos attachements, nos regrets ou nos non-dits peuvent l’ancrer. Ses propres regrets aussi. Une âme qui n’a pas terminé ce qu’elle avait commencé peut se lier aux vivants, souvent à travers les membres de sa lignée, en empruntant des canaux subtils, des portails invisibles entre les mondes. Et tant qu’elle est là, sa présence énergétique influence, elle transmet. Elle transmet des douleurs, des poids, des émotions, qui deviennent parfois transgénérationnels.
Nombreux sont les patients qui viennent me voir en me disant que leur douleur est ancienne, qu’elle appartenait déjà à leur mère, à leur père, à leur grand-mère. Et ce qu’ils ignorent souvent, c’est que cette mémoire n’est pas seulement génétique, elle est aussi énergétique. Tant que l’âme n’est pas montée, tant qu’elle reste dans les plans subtils du vivant, elle porte encore avec elle son histoire, ses blessures, son bagage, et elle continue à le faire ressentir à travers les corps de ceux qui lui sont liés.

ll m’a fallu du temps pour comprendre pourquoi, lors de certaines séances, des réactions physiques se manifestaient avec intensité. Pourquoi, alors que je me connectais à l’univers, certains patients ressentaient une douleur soudaine, voyaient leur main se crisper sans raison apparente, ou encore leurs membres se mettre à bouger comme mues par une force invisible. Ces manifestations, loin d’être anecdotiques, revenaient avec une régularité troublante. Elles me parlaient. Elles disaient quelque chose.
J’ai cherché. J’ai questionné. J’ai écouté au-delà du visible. Et c’est là que j’ai compris que la fréquence utilisée pendant mes soins n’était pas simplement une énergie de bien-être. C’était une fréquence sacrée, une onde issue d’un niveau supérieur de conscience, une fréquence divine. Une énergie porteuse, capable de révéler, d’amplifier, de mettre en lumière. Une énergie si puissante qu’elle nécessitait un alignement profond et une autorisation claire.
Alors j’ai demandé de l’aide. Je me suis tourné vers ces êtres de lumière qui m’accompagnent depuis des années, et je leur ai demandé une guidance. Une permission. Une coordination céleste. Et peu à peu, avec humilité, je les ai sentis accorder cette autorisation particulière : celle d’amplifier la fréquence d’un défunt, de rendre sa présence plus tangible, plus réelle, presque palpable. C’est à ce moment-là que tout a pris une dimension nouvelle.
Le contact n’était plus seulement vibratoire ou émotionnel. Il devenait, dans certaines conditions, physique. Bien sûr, il y a des variables. Tout ne se passe pas automatiquement. Si la personne vivante est coupée de l’amour, si ses chakras sont déplacés, si son corps subtil est perturbé, le contact ne peut pas se faire facilement. Il ne suffit pas de le vouloir pour que cela advienne. Il ne suffit pas de tendre la main pour qu’un miracle surgisse.
Mais ce que j’ai compris, profondément, c’est que personne n’a de baguette magique. Et que tout est cheminement. Mon rôle n’est pas d’imposer une solution, mais de chercher avec précision, d’ouvrir des portes, d’écouter l’âme, et surtout de rester au service de ce qui est juste et lumineux.
Et à force de recherches, de travail, d’écoute, j’ai pu accompagner certains patients vers un contact physique, parfois simple, parfois binaire. Un frémissement en guise de oui. Une absence de réaction en guise de non. Une réponse claire. Une interaction qui, même dans sa discrétion, devient bouleversante. Car elle est vraie. Elle est sentie. Et elle change tout. Elle libère, elle éclaire, elle transforme. Elle fait de la séance un espace sacré où la frontière entre les mondes s’efface, le temps d’un instant. Imaginez un instant que vous puissiez ressentir une main qui saisit doucement votre bras. Pas dans votre imagination. Pas dans un rêve. Mais là, dans l’instant présent. Une main qui vous élève le bras pour vous dire oui. Qui le laisse immobile pour vous dire non. Une main invisible à l’œil nu mais profondément visible à travers le ressenti, le frisson, le cœur qui s’ouvre, l’émotion qui monte.
Imaginez qu’un être cher, passé de l’autre côté du voile, puisse vous répondre. Pas seulement par des signes flous ou des impressions fugaces, mais par une interaction physique, claire, directe, qui devient un véritable dialogue. Un moment unique, suspendu, où ce qui était séparé redevient uni.
C’est cela que la méthode MIP permet. Un espace sacré où les liens familiaux peuvent se renouer. Où les non-dits trouvent enfin des mots. Où les blessures anciennes peuvent se refermer dans la paix. Où l’âme du défunt peut s’élever, libre et sereine, parce que vous l’avez entendue. Et vous aussi, vous évoluez. Vous vous libérez. Vous retrouvez confiance, foi, et certitude qu’il existe bien autre chose après ce monde physique.
C’est ce que je vous propose. Une rencontre d’âme à âme. Un contact de fin… qui est en réalité un nouveau commencement.
Conclusion

Le monde visible n’est qu’une facette de l’existence. Derrière les silences, derrière les départs, il existe une continuité, une vibration, une présence. À travers la méthode MIP, j’ai découvert que les liens d’amour ne se brisent pas. Ils se transforment. Ils deviennent subtils, sensibles, sacrés.
Ce que je vous propose n’est pas une promesse vide. C’est une invitation. Une main tendue vers l’invisible pour, peut-être, recevoir en retour la main d’un être cher. Un contact qui n’appartient ni à la fiction ni au hasard, mais à la vérité de l’âme.
Lorsque l’amour guide, lorsque l’intention est pure, les portes s’ouvrent. Et ce qui semblait impossible devient lumineux, tangible, guérisseur. Le défunt s’élève. Le vivant se relève. Et dans ce miracle discret, chacun retrouve sa juste place.
Vous n’êtes pas seuls. Vous ne l’avez jamais été.